Les organisations comme Amnesty International la soutiennent. Amnesty International dénonce le fait que sa sentence est une attaque contre la liberté de la presse. Human Rights Watch estime qu’il s’agit là d’un nouveau coup porté contre la liberté de la presse.
Gao a une santé fragile et elle avait comparu à huis clos en novembre, pour des accusations dont elle se disait innocente. Le 8 mai 2014, Madame Gao était apparue à la télévision d’Etat chinoise, dans un reportage où elle admettait ses fautes. Elle a expliqué plus tard à ses avocats que ses aveux ont été extorqués.
Je pense que le journalisme est un métier dangereux. La vie des journalistes est toujours en danger, surtout dans les pays où il y a la censure de la presse. C’est grâce aux journalistes qu’on connaît beaucoup de choses qui se passent dans le monde entier mais quelquefois leur reportage entre en conflit avec l’opinion de l’Etat. Il y a des sujets que l’Etat traite comme sensibles. Je pense que les journalistes doivent respecter les lois de leur pays car quelquefois les informations qu’ils divulguent nuisent à la sécurité de l’Etat. Parfois il faut savoir rester discret.
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