Cette image est une illustration de l’approche traditionnelle de l’éducation dans le passé. Les châtiments corporels étaient utilisés comme moyen de punir les élèves. La punition était horrible parce qu’à cette époque là, le loi qui protège les enfants n’était pas très stricte comme aujourd’hui. alors, les professeurs pouvaient faire comme ils voulaient. Les élèves qui étaient frappés avaient toujours peur de faire des fautes en classe. Les élèves ne pouvaient pas développer leur confiance. Au lieu de s’intéresser à l’éducation ils la détestaient.
En comparaison avec l’éducation au Botswana, c’est un peu similaire mais maintenant on n’a pas le droit de frapper les élèves comme autrefois parce que la loi protège les élèves. Quand le prof blesse un élève c’est grave parce que le prof peut être emprisonné ou perd son travail.
A mon avis, le châtiment corporel est mauvais. J’ai observé que même si on les punissent il n’y a pas le changement de façon qu’ils se comportent. Les profs doivent être comme les parents des élèves pas d’ennemies. Si on les punissent tous les jours, il n’ y aura pas de relations positifs entre les profs et les élèves. Il y a les moyens différents de punir les élèves comme : de ne pas les permettre une pause pendant la récréation ou de les dire de rester en classe et les donnent le travail au lieu de rentrer à la maison à la fin de cours, etc. Comme prof on est obliger de développer leur confiance et de les encourager d’avoir un bon avenir .
lundi 15 décembre 2014
jeudi 11 décembre 2014
LA REUNION : UNE VOITURE PERCUTE DES PIETONS ET FAIT QUATRE MORTS
Il y a eu un accident de voiture à Saint-Denis à La Réunion le mercredi soir du 10 décembre 2014. L’accident était grave parce que quatre personnes sont mortes et deux autres ont été blessées grièvement. Le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule à cause de la vitesse.
Je trouve tout ça tellement triste parce qu’il y a eu des décès. C’est aussi triste pour les familles concernées, surtout qu’on est proches de Noël : ça sera un Noël triste pour eux. Je ne sais pas si les personnes étaient des enfants ou des adultes. J’espère que
Je trouve tout ça tellement triste parce qu’il y a eu des décès. C’est aussi triste pour les familles concernées, surtout qu’on est proches de Noël : ça sera un Noël triste pour eux. Je ne sais pas si les personnes étaient des enfants ou des adultes. J’espère que
vendredi 5 décembre 2014
INTERVIEW AVEC LAURENT TOLAR
Aujourd’hui, j’ai eu la chance de faire une interview avec Monsieur Laurent Toléra. Quand je lui ai demandé de faire une interview, il a gentiment accepté. Je lui ai expliqué la raison pour laquelle je faisais cette une interview et je lui ai demandé l’autorisation de le prendre en photo.
Il a 46 ans et il est réunionnais. Il habite au Tampon. Il est divorcé et maintenant il est célibataire. Il a trois enfants ; deux garçons de 25 ans et 16 ans et une fille de 12 ans. L’aîné travaille en France depuis 6 ans. Les deux autres sont au collège. Il travaille au restaurant universitaire comme cuisinier. Il m’a dit qu’il aime son travail parce que c’est manuel et artistique. Il utilise sa voiture pour aller au travail.
Le week-end, il aime aller à la montagne ou pique-niquer avec des amis et quelquefois avec ses enfants. Il a bien voyagé parce qu’il a vécu dans le sud de la France pendant 2 ans. Il a aussi travaillé en Espagne, en Allemagne et en Italie. Il a décidé de rentrer à la Réunion parce que sa copine voulait revenir et ses enfants lui manquaient beaucoup. Il aime travailler avec des étudiants du nationalités differentes.
Il a 46 ans et il est réunionnais. Il habite au Tampon. Il est divorcé et maintenant il est célibataire. Il a trois enfants ; deux garçons de 25 ans et 16 ans et une fille de 12 ans. L’aîné travaille en France depuis 6 ans. Les deux autres sont au collège. Il travaille au restaurant universitaire comme cuisinier. Il m’a dit qu’il aime son travail parce que c’est manuel et artistique. Il utilise sa voiture pour aller au travail.
Le week-end, il aime aller à la montagne ou pique-niquer avec des amis et quelquefois avec ses enfants. Il a bien voyagé parce qu’il a vécu dans le sud de la France pendant 2 ans. Il a aussi travaillé en Espagne, en Allemagne et en Italie. Il a décidé de rentrer à la Réunion parce que sa copine voulait revenir et ses enfants lui manquaient beaucoup. Il aime travailler avec des étudiants du nationalités differentes.
jeudi 4 décembre 2014
LA SORTIE DU WEEK-END
Il y avait une sortie dans le sud sauvage le 29 novembre 2014. Nous sommes allés au sud de la Réunion avec huit fonctionnaires africains. On a traversé des villes comme Saint Joseph et Saint Phillipe. Monsieur Michel nous a accompagnés et c'est lui qui nous a raconté l'histoire du sud sauvage.
Nous avons vu la mer où il est interdit de nager parce qu'il y a des requins. Nous avons vu aussi un trou dans les rochers par lequel l'eau peut passer. Nous avons pris des photos de tout ça pour avoir de bons souvenirs de la Réunion quand on rentre au Botswana. C'était fatigant parce qu’on a fait de longues promenades mais c'était aussi amusant en même temps. On est restés un peu pour avoir quelque chose à manger.
On a continué après une petite pause et on est allés voir les coulées de lave. On a vu aussi une église très ancienne. L’histoire de l’église m’intéressait parce qu’on nous a dit que quand il y a eu une éruption volcanique c’était le seul bâtiment qui n’a pas été détruit. On est arrivés au campus vers dix-huit heures. Tout le monde était fatigué. La sortie dans le sud sauvage était vraiment une expérience incroyable pour moi.
Nous avons vu la mer où il est interdit de nager parce qu'il y a des requins. Nous avons vu aussi un trou dans les rochers par lequel l'eau peut passer. Nous avons pris des photos de tout ça pour avoir de bons souvenirs de la Réunion quand on rentre au Botswana. C'était fatigant parce qu’on a fait de longues promenades mais c'était aussi amusant en même temps. On est restés un peu pour avoir quelque chose à manger.
On a continué après une petite pause et on est allés voir les coulées de lave. On a vu aussi une église très ancienne. L’histoire de l’église m’intéressait parce qu’on nous a dit que quand il y a eu une éruption volcanique c’était le seul bâtiment qui n’a pas été détruit. On est arrivés au campus vers dix-huit heures. Tout le monde était fatigué. La sortie dans le sud sauvage était vraiment une expérience incroyable pour moi.
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