A la rentrée 2014, 3100 collégiens ont reçus des tablettes qu’ils devraient utiliser pendant leur quatre années de collège. L’objectif de ce projet était de combattre les inégalités d’accès au numérique. En mars 2015, le conseil départemental a décidé de ne pas continuer cette initiative.
La raison pour laquelle il y a eu ce changement était le coût qui est considéré cher, le budget était du 9.7 millions d’euros sur cinq ans. L’autre raison était que les parents se plaignaient que les tablettes servaient plus pour s’amuser que pour travailler.
Je trouve que c’était une bonne initiative parce qu’aujourd’hui les élèves s’intéressent plus à la technologie qu'à l’apprentissage où le prof parle trop. La technologie comme l’usage de la tablette permet aux élèves de découvrir les choses eux-mêmes.
J’ai observé aussi que la plupart du temps, l’Etat introduit de bonnes mesures ou initiatives mais la mise en place de tout cela est toujours un problème. On peut se demander pourquoi l’Etat n’a pas mieux planifié ce projet. Si on propose ce type d'initiatives et qu’après quelques mois on change, à quoi cela sert-il ?
mercredi 10 juin 2015
Une dispute entre deux restaurants à cause d’une recette de sauce en France
En France, deux propriétaires de chaîne de restaurants s’accusent l’un l’autre d’être le seul propriétaire d’une recette de sauce servie dans leur restaurant. L'affaire est en ce moment devant le tribunal de Bordeaux.
Selon l’auteur de cet article, c’est le restaurant L’Entrecôte, à Bordeaux qui propose la même formule avec une « sauce maison » depuis 1966. Il y a aussi six restaurants à Paris, Nantes, Montpellier, Bordeaux et Lyon qui ont créé presque la même recette que celle de L’Entrecôte. En plus, depuis 2010 à Bordeaux, un autre restaurant, "Le Régent", a été ouvert en prétendant être le vrai propriétaire de cette recette. Grâce au succès de la franchise "Le Régent » une vingtaine de restaurants ont ouvert dans le Sud-Ouest, et parfois, certains restaurants étaient situés à quelques mètres de L’Entrecôte.
Je pense que ce n’est pas bon de profiter de la situation aux dépends des autres. Je trouve scandaleux que Le Régent ait fait une publicité comparative avec L’Entrecôte. Dans sa défense, le propriétaire du Régent a dit que sa sauce était différente de celle de L’Entrecôte et que dans la publicité au lieu du « E » majuscule, il a utilisé le « e » minuscule, je crois que l’explication n’est pas suffisante. Je suis d’accord avec l’avocat de L’Entrecôte quand il a dit que "Le Régent a utilisé la notoriété et la recette de L’Entrecôte pour faire fructifier ses restaurants. »
La plupart du temps, on aime dire qu’on a fait quelque chose parce qu’on avait la liberté de le faire, comme dit l’avocat du Régent, "l’établissement a la liberté du commerce et la liberté d’entreprendre." Ici, ce n’est pas une question de liberté, c’est une question de dire la vérité, sans tricher, pour essayer de trouver une solution.
Selon l’auteur de cet article, c’est le restaurant L’Entrecôte, à Bordeaux qui propose la même formule avec une « sauce maison » depuis 1966. Il y a aussi six restaurants à Paris, Nantes, Montpellier, Bordeaux et Lyon qui ont créé presque la même recette que celle de L’Entrecôte. En plus, depuis 2010 à Bordeaux, un autre restaurant, "Le Régent", a été ouvert en prétendant être le vrai propriétaire de cette recette. Grâce au succès de la franchise "Le Régent » une vingtaine de restaurants ont ouvert dans le Sud-Ouest, et parfois, certains restaurants étaient situés à quelques mètres de L’Entrecôte.
Je pense que ce n’est pas bon de profiter de la situation aux dépends des autres. Je trouve scandaleux que Le Régent ait fait une publicité comparative avec L’Entrecôte. Dans sa défense, le propriétaire du Régent a dit que sa sauce était différente de celle de L’Entrecôte et que dans la publicité au lieu du « E » majuscule, il a utilisé le « e » minuscule, je crois que l’explication n’est pas suffisante. Je suis d’accord avec l’avocat de L’Entrecôte quand il a dit que "Le Régent a utilisé la notoriété et la recette de L’Entrecôte pour faire fructifier ses restaurants. »
La plupart du temps, on aime dire qu’on a fait quelque chose parce qu’on avait la liberté de le faire, comme dit l’avocat du Régent, "l’établissement a la liberté du commerce et la liberté d’entreprendre." Ici, ce n’est pas une question de liberté, c’est une question de dire la vérité, sans tricher, pour essayer de trouver une solution.
Inscription à :
Articles (Atom)