LA METHODE TRADITIONNELLE

Cette image est une illustration de l’approche traditionnelle de l’éducation dans le passé. Les châtiments corporels étaient utilisés comme moyen de punir les élèves. La punition était horrible parce qu’à cette époque là, le loi qui protège les enfants n’était pas très stricte comme aujourd’hui. alors, les professeurs pouvaient faire comme ils voulaient. Les élèves qui étaient frappés avaient toujours peur de faire des fautes en classe. Les élèves ne pouvaient pas développer leur confiance. Au lieu de s’intéresser à l’éducation ils la détestaient.

En comparaison avec l’éducation au Botswana, c’est un peu similaire mais maintenant on n’a pas le droit de frapper les élèves comme autrefois parce que la loi protège les élèves. Quand le prof blesse un élève c’est grave parce que le prof peut être emprisonné ou perd son travail.

A mon avis, le châtiment corporel est mauvais. J’ai observé que même si on les punissent il n’y a pas le changement de façon qu’ils se comportent. Les profs doivent être comme les parents des élèves pas d’ennemies. Si on les punissent tous les jours, il n’ y aura pas de relations positifs entre les profs et les élèves. Il y a les moyens différents de punir les élèves comme : de ne pas les permettre une pause pendant la récréation ou de les dire de rester en classe et les donnent le travail au lieu de rentrer à la maison à la fin de cours, etc. Comme prof on est obliger de développer leur confiance et de les encourager d’avoir un bon avenir .  

LA REUNION : UNE VOITURE PERCUTE DES PIETONS ET FAIT QUATRE MORTS

Il y  a eu un accident  de voiture à Saint-Denis à La Réunion le mercredi soir du 10 décembre 2014. L’accident était grave parce que quatre personnes sont mortes et deux autres ont été blessées grièvement. Le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule à cause de la vitesse.

Je trouve tout ça tellement triste parce qu’il y a eu des décès. C’est aussi triste pour les familles concernées, surtout qu’on est proches de Noël : ça sera un Noël triste pour eux. Je ne sais pas si les personnes étaient  des enfants ou  des adultes.  J’espère que

INTERVIEW AVEC LAURENT TOLAR

Aujourd’hui, j’ai eu la chance de faire une interview avec Monsieur Laurent Toléra. Quand je lui ai demandé de faire une interview, il a gentiment accepté. Je lui ai expliqué la raison pour laquelle je faisais cette une interview et je lui ai demandé l’autorisation de le prendre en photo.

Il a 46 ans et il est réunionnais. Il habite au Tampon.  Il est divorcé et maintenant il est célibataire. Il a trois enfants ; deux garçons de 25 ans et 16 ans et une fille de 12 ans. L’aîné travaille en France depuis 6 ans. Les deux autres sont au collège. Il travaille au restaurant universitaire comme cuisinier. Il m’a dit qu’il aime son travail parce que c’est manuel et artistique. Il utilise sa voiture pour aller au travail.


Le week-end, il aime aller à la montagne ou pique-niquer avec des amis et quelquefois avec ses enfants. Il a bien voyagé parce qu’il a vécu dans le sud de la France pendant 2 ans. Il a aussi travaillé en Espagne, en Allemagne et en Italie. Il a décidé de rentrer à la Réunion parce que sa copine voulait revenir et ses enfants lui manquaient beaucoup. Il aime travailler avec des étudiants du nationalités differentes.

LA SORTIE DU WEEK-END

Il y avait une sortie dans le sud sauvage le 29 novembre 2014. Nous sommes allés au sud de la Réunion avec huit fonctionnaires africains. On a traversé des villes comme Saint Joseph et Saint Phillipe. Monsieur Michel nous a accompagnés et c'est lui qui nous a raconté l'histoire du sud sauvage.

Nous avons vu la mer où il est interdit de nager parce qu'il y a des requins. Nous avons vu aussi un trou dans les rochers par lequel l'eau peut passer. Nous avons pris des photos de tout ça pour avoir de bons souvenirs de la Réunion quand on rentre au Botswana. C'était fatigant parce qu’on a fait de longues promenades mais c'était aussi amusant en même temps. On est restés un peu pour avoir quelque chose à manger.

On a continué après une petite pause et on est allés voir les coulées de lave. On a vu aussi une église très ancienne. L’histoire de l’église m’intéressait parce qu’on nous a dit que quand il y a eu une éruption volcanique c’était le seul bâtiment qui n’a pas été détruit. On est arrivés au campus vers dix-huit heures. Tout le monde était fatigué. La sortie dans le sud sauvage était vraiment une expérience incroyable pour moi.

UN COUPLE CONDAMNE POUR MALTRAITANTE SUR SES ENFANTS

Le 24 novembre 2014, un couple de 31 et 41 ans a été condamné à deux ans d’emprisonnement par le tribunal correctionnel de Meaux, pour maltraitante de ses enfants. Les enfants sont mineurs de moins de 15 ans par ascendant. La femme a dit que c’est elle qui a demandé à son mari de punir leurs petits enfants de 3 ans et 4 ans et demi. Les punitions prenaient des formes différentes : fessées, longs moments passés à genoux ou alternance de douches chaudes ou froides. Tout ça se passait entre les mois de janvier et mai 2014.  La nuit du 24 au  25 avril, l’un d’eux avait été obligé de manger ses excréments parce qu’il n’était « pas propre. »

Selon moi, ce que le couple faisait était très mal mais la durée de la peine d'emprisonnement de deux ans n’est pas juste. Ce qu’ils ont fait était vraiment triste mais il semble que la loi ne respecte pas les droits des enfants comme c’est expliqué dans "Les droits de l’homme". L’emprisonnement ne correspond pas à ce qu’ils ont fait.

Ce n’est pas juste parce que si un enfant est maltraité, cela va avoir des répercussions négatives dans sa vie ; il peut faire la même chose à ses enfants quand il sera adulte parce que pour lui c’est normal de faire ça. Je pense qu’une peine d’emprisonnement de 10 à 15 ans accompagné d’un suivi psychologique aurait été mieux. Pour leur défense, ils ont dit qu’ils avaient un problème de dépression et souffraient d’un retard mental mais ils avaient le choix de demander de l’aide médicale.

CE QUE J’AI FAIT LE WEEK-END PASSE

Le week-end passé était vraiment intéressant et amusant parce que c’était l’anniversaire de Mpho Mohutsiwa. On a décidé de fêter son anniversaire avec elle. Samedi matin, on est allées au supermarché où on a acheté des provisions pour préparer le repas du midi. A manger, il y avait des pâtes, du jambon, du fromage, du porc, du poulet, du pain, du maïs et des légumes. A boire, il y avait du coca, du jus de fruit et du vin.

L’après-midi on a pris la nourriture pour la manger à la plage. On a pris un bus pour Saint Pierre. C’était vraiment amusant à la plage. On a fait beaucoup de choses comme danser,  nager, bavarder et faire des bêtises. On a bien mangé et bu.

Le soir, on a mangé du gâteau et dansé. Il y avait ceux qui ont décidé d’aller au boîte de nuit mais les autres sont restés sur le campus. J’étais l’un de ceux qui sont restés parce que j’étais fatiguée.
Pour conclure on a passé un bon week-end.
           

CE QUE J'AIME ET CE QUE JE N'AIME PAS

CE QUE J’AIME


La vie est belle et je me sens bénie d'être encore en vie. Même si la vie est comme ça, ce n'est pas toujours  facile. C'est pourquoi dans la vie il y a des choses qu'on aime ou qu’on n'aime pas.


J'aime beaucoup de choses. J'aime être libre, faire ce que j’aime  même si ce sont parfois des erreurs. J'aime être avec les gens qui ont un esprit positif. Je n'aime pas les gens qui sont paresseux mais se plaignent toujours.  J'aime m’amuser avec ma famille et mes amis. J'aime danser. Comme loisirs, j'aime regarder la télévision, surtout les émissions de télé réalité comme : « Big brother, Idols", etc. J'adore faire du shopping et manger au restaurant. J'aime écouter toutes sortes de musiques. J'adore lire, pour moi la lecture est bonne surtout quand je veux me reposer en buvant un verre de vin rouge. J’aime connaître la culture des autres nationalités. J’aime mon fils  ; il me rend heureuse.


                    CE QUE JE N’AIME PAS
Ce que je n’aime pas ce sont les gens qui sont arrogants.  Je déteste faire la cuisine mais quand je la fais, je prépare des repas délicieux. Je n’aime pas faire de sport parce que c'est fatigant. Je n’aime pas rester à la maison toute la journée sans rien faire ; c’est ennuyeux.

Je n’aime pas la guerre; c’est terrible de voir les enfants et les femmes qui souffrent à cause de la guerre. Je n’aime pas la pauvreté.

LA CHANSON FRANCAISE QUE J'AIME

La chanson française que j’aime est  « Ne me quitte pas » par Jacquel Brel. J'ai entendu cette chanson la première fois quand je suis arrivée à la Réunion. C'est une chanson d'amour. Je l'aime parce que ça me rappelle mon armour au Botswana ; il est aussi le père de mon fils. Je l'écoute surtout quand je suis seule dans ma studette. Je chante cette chanson quand je pense à mon armour ou quand je prends une douche. Quand je ne peux pas dormir je l'écoute et après je dors comme un bébé.

MA VIE A LA REUNION

L'île de la Réunion est très belle. C'est une île touristique donc il y a beaucoup de lieux à visiter. À la Réunion, j'habite au Tampon sur le campus universitaire. J'habite seule dans une studette. Pour les repas, je mange au restaurant universitaire. Le restaurant ferme l'après-midi donc je dois emporter mon repas du soir après le déjeuner.

Je fais du shopping au centre commercial du Tampon et à Saint Pierre ; pour aller au Tampon je peux aller à pied ou je prends le bus. Le Tampon est une ville avec beaucoup de pentes donc c'est fatigant. Pour aller à Saint Pierre je prends le bus parce que c'est un peu loin.
Je suis allée à Saint Pierre pour la première fois le 31 octobre 2014, malheureusement presque tous les magasins étaient fermés. On a décidé d'aller à la plage mais on n'a pas pu nager parce qu'on n'avait pas de maillot de bains. C'était bien à la plage parce que j'ai rencontré les Réunionnais et en général ils sont gentils.

La vie à la Réunion c'est bien, il y a plus de liberté qu'au Botswana. Par exemple, les filles et les femmes portent tout ce qu'elles veulent sans être jugées.

.

MON VOYAGE DU BOTSWANA A LA REUNION

Le voyage à l'île de Réunion s’est déroulé le 30 octobre 2014. Je me suis réveillée très tôt à 3h45 du matin parce que le vol de Gaborone à Johannesburg était à 06h30. Je suis arrivée
à l'aéroport de Gaborone à 5h15. J'étais avec ma
famille à l'aéroport. C'était triste de laisser ma famille au
Botswana. Il y avait un retard de l'avion pour Johannesburg et
on est parties à 8h45. Le voyage de Gaborone à Johannesburg a
duré environ 50 minutes. J’ai eu peur quand l’avion a atterri
à l'aéroport de Johannesburg.

On a attendu une heure avant de commencer le voyage
à la Réunion. Finalement on a commencé le voyage à 11h45.
J'ai remarqué que l'avion pour la Réunion est plus grand que
l'avion pour le Botswana ; c'est aussi plus confortable que celui
de mon pays. Le voyage à la Réunion était agréable ; on a beaucoup
mangé et bu. J'ai bu du vin parce que j'ai la phobie de l'avion.

Le voyage de Saint Denis au Tampon a duré presque
une heure. Finalement on est arrivées au campus de
l'université du sud, on a rencontré les autres Botswanais ici.
Ils étaient contents et on a beaucoup parlé. Monsieur Michel
nous a montré nos studettes. On a dormi plus tard.

A propos de moi

Je  m’appelle Grace Modise. Je suis née le 31 décembre en …….. Je suis botswanaise. Je suis célibataire. Au Botswana, j’habite à Gaborone, c’est la capitale du Botswana. J’ai un fils et il a 14 mois. Il s’appelle Reneilwe. Il me manque beaucoup. J'ai un frère et trois soeurs, je suis l'aînée.

Maintenant je suis à la Réunion pour un stage de 9 mois. Je suis contente d’être ici parce que ça va me donner la chance de perfectionner mon français et d'apprendre les différents moyens d’enseigner une langue étrangère. Je voudrais aussi connaître la culture réunionnaise : comment ils s'amusent surtout pendant Noël, leurs musiques traditionnelles, la nourriture, les bâtiments historiques et comment ils vivent en général. Je suis arrivée à la Réunion le 30 octobre 2014. Ici, j'habite au Tampon sur le campus universitaire dans une studette. Nous mangeons au restaurant universitaire ; la nourriture est différente de mon pays mais je l'aime quand même.

Je suis allée dans un centre commercial au Tampon le 31 octobre 2014 pour faire du lèche-vitrines. J'étais avec les autres Botswanaises et nous sommes allées à pied. Aller en ville à pied c'est fatigant parce qu'il y a beaucoup de pentes au Tampon. J'ai vu beaucoup de choses jolies mais j'ai remarqué qu'ici c"est plus cher qu'au Botswana mais il faut s'adapter à la vie ici. J'espère de beaucoup m'amuser pendant mon séjour à la Réunion et parler couramment  français à la fin de ce stage.